Les français travaillent six semaines de moins que les Allemands, soit 1679 heures par an contre 1904 heures par an. La Roumanie culmine avec 2095 heures par an soit 24,77% de temps de travail en plus.
Il y a urgence à réfléchir !!!. Alors que la France entre en récession, comment enrayer la montée du chômage et stimuler la croissance?
La capacité de nos entreprises à affronter la concurrence régresse, nos industries s’affaiblissent et nos usines ferment, une grande majorité des élus se rangent enfin à cette constatation.
Le « made in France » fait de moins en moins recette. Les exportations françaises à l’intérieur même de l’Europe se réduisent pour ne plus peser que 9% du total tandis que notre déficit commercial atteint un record de 75 millions d’euros (début 2012).
Voici la réalité des chiffres et de la situation.
Avec l’effet des 35 heures, les salariés français à temps plein, sont ceux qui travaillent le moins en Europe. On mesure, en temps de crise, les conséquences désastreuses de l’ultime grande emblématique du Parti Socialiste. Celui-ci est le dernier à défendre encore la fable du partage du travail imposé d’en haut sans aucune distinction : une perte de compétitivité dramatique des entreprises, un coût faramineux pour les finances publiques, un marché de l’emploi sclérosé et une très légère hausse du pouvoir d’achat.
Ce déclin français peut être enrayé, encore faut-il l’accepter, remettre en question un système qui ne fonctionne plus et choisir une autre voie que les 35 heures.
Les discussions à venir doivent permettre d’introduire davantage de souplesse et de flexibilité dans l’organisation du travail.
Il en va de l’intérêt des entreprises et des salariés, des industries françaises et du savoir-faire.
