« L’approche criminologique est généralement rejetée par la magistrature française qui préfère la sociologie (les violences sont parce que chauve…), la psychologie (absence du père…), la culture (manque d’intégration).
Il s’agit là d’explication mais pas de solution. Ce ne sont pas les casques bleus qui manquent mais une réflexion honnête sur le sujet.
Parallèlement la répression policière et plus efficace parce que les délinquants ne sont pas jugés [par défaut de cohérence entre police et justice,) les chefs de bande savent qu’ils risquent peu, la dissuasion ne marche pas.
L’alternative est connue et réaliste elle s’appelle la tolérance zéro : cette doctrine implique des peines lourdes exécutees même pour des délits mineurs. Elle dissuade et
aussi elle place physiquement hors circuit les leaders. »
Ete 2011