« Qu’est devenue la nation, corps politique en lequel le peuple souverain s’est organisé, à l’heure où seule la dette semble effectivement…souveraine ?
Un objet de risée pour les élites autoproclamées, assure Jean-Claude Barreau, dans un livre courageux.
L’ancien conseiller politique de François Mitterand et de Charles Pasqua stigmatise avec raison la haine de soi qui s’est emparée de la France à l’heure de la fusion européenne et de l’idéologie mondialiste ».
« Toute évocation du patriotisme met mal à l’aise les bien-pensants, qui y discernent du populisme, autre mot de leur vaste collection d’adjectifs méprisants. »
Pourtant, comme le démontre l’auteur, la « patrie » est le seul lieu possible de l’exercice de la démocratie, de la justice sociale, de la laïcité et des pouvoirs régaliens (privilège de battre monnaie, emploi de la force et dissuasion nucléaire).
Où l’on se prend à rêver que la France redevienne « la princesse de légende dont parle de Gaulle ». »
LE Blog : Dans son livre percutant « Sans la nation, le chaos », « L’aveuglement des élites » (Ed. du Toucan 192 p. 16 euro), déjà le titre (alléchant) pose la question. Alors, avec l’auteur, on peut conclure, pourquoi tant de « haine » et pourquoi cacher et faire oublier ces notions (nations) si nécessaire. »
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