Les seules dépenses publiques efficaces, que l’on peut donc financer à crédit, explique Nicolas SARKOZY, ce sont les « dépenses d’investissement », cœur de son plan de relance. On peut cependant s’interroger. Il s’agit d’investissements publics, alors que les vrais investissements productifs sont ceux des entreprises. Or, rien n’est prévu pour relancer ces dernières, en dehors d’une vraie bonne nouvelle, la suppression « partielle » de la taxe professionnelle en 2010. (A propos du plan de relance de Nicolas SARKOZY par Jean Yves NAUDET)
« Direction de l’économie par l’Etat, colbertisme industriel, rôle moteur du service public… La crise ranime un modèle français qui date de la monarchie… » (par François D’ORCIVAL, in Valeurs Actuelles, en Février 2009)
