Il est salutaire parfois de revenir à la définition des choses surtout en ces temps d’approximations orthographiques, syntaxiques, historiques et philosophiques. Le relativisme est devenu depuis l’annonce de la « mort de Dieu », la philosophie dominante en Occident. Il apparaît donc important d’en repréciser les contours.
C’est à cette entreprise pédagogique que se livre le grand sociologue Raymond Boudon, dans ce petit essai accessible à un large public. Il distingue différentes variantes du relativisme.
Il y a le relativisme normatif, qui soutient que toutes les valeurs sont à peu près égales. Il y a le relativisme cognitif qui considère qu’il n’y a pas de connaissance certaine, même dans le domaine scientifique.
Au fond, le propos de Boudon est de chercher à ne pas remettre en cause toute forme de relativisme comme une certaine pensée a tendance à vouloir le faire en réaction à ses excès. Il y a un bon relativisme, qui favorise le respect de l’Autre, et un mauvais qui aboutit à toute forme de nihilisme et détruit la suprématie des valeurs démocratiques.
Raymond Boudon, Le relativisme, ED. PUF, Que sais-je ?, mars 2008
Voilà ce qu’on peut faire quand on se rebiffe et je le conseille à chacun qui peut avoir des ennuis avec ce gros connard de sarkozy ou sa clique de clowns de flics minables : je suis en train de régler un petit problème du genre détail avec cette grosse tache de si peu président de la république Française, en lui envoyant un avocat pour mises sous surveillance illégales, lynchage et plagiat. Avis à la population et merci pour l espace d’expression. Voilà, ceci est également une tentative de gros scandale public parce que ça calme pas mal les gros connards.