Le 25 novembre 2005, l’UPA accueillait Monsieur Nicolas Baverez, avocat, essayiste, historien et éditorialiste ua Monde et au Point.
Il exposait les arguments développés dans son ouvrage « La France qui tombe » auprès de la presse locale, dans les locaux du Groupe de l’Union Pour l’Ardèche au Conseil Général, où il était accueilli par le Docteur Jacques Chabal.
A Ucel, les élus du groupe UPA et près de 200 personnes participaient à la conférence-débat particulièrement riche. Jacques Chabal introduisait le débat en présentant don prestigieux visiteur et ses écrits. Les participants, de leur côté, ont posé de nombreuses questions à Nicolas Baverez.
Voici quelques extraits de la conférence :
« Au sein de l’Europe, c’est la capacité à réformer les modèles économiques et sociaux qui distinguent les pays qui marchent et les pays qui stagnent ».
« Il n’y a cependant aucune raison d’être pessimiste, car tous les payx ont été ou sont confrontés à ces difficultés et ont engagé des réformes. Les français ont su, par le passé, conduire avec succès des thérapies de choc. Il faut aujourd’hui qu’ils acceptent le monde du XXI tel qu’il est. Ils ont les atouts pour réussir en changeant ».
« La France ne traverse pas de difficultés conjoncturelles mais elle affronte une crise nationale majeure, équivalente à celle des dernières années de la IVème République, avec une dimension morale, le doute su rl’identité et la cohésion de la Nation ».
« Il existe deux verrous à la modernisation du pays : LE PSEUDO MODEL SOCIAL et LE REFUS DE REFORMER L’ ETAT ».
« La France seule, s’évertue à conforter l’économie fermée et administrée des années 1970 et s’enferme dans des politiques protectionniste et clientéliste qui tuent la croissance, l’emploi et pour finir la citoyenneté ».