La richesse révolutionnaire : la révolution du savoir
Tout à la fois écrivains, sociologues et futurologues, Alvin et Heidi Toffler ont une ambition commune : décrypter les évolutions majeures du monde contemporain. Leur premier livre, Le Choc du futur, publié il y a trente ans, fut un succès planétaire.
Chimère et clone : explications
On parvient donc à fabriquer des chimères de caille et de poulet.
Le dialogue interreligieux : un travail sans relâche pour construire la civilisation de l’amour
Entre le relativisme, pour lequel toutes les religions se valent, et l’intransigeance, qui refuse toute valeur aux diverses traditions religieuses, le dialogue en vérité et charité naît du respect pour l’autre et pour la présence active en lui de Dieu qui l’a créé à son image et ressemblance.
RTT, vacances et sociétés de loisirs
Un tiers des salariés refuse, par choix, d’échanger une RTT contre un supplément de salaire.
Les aveux obscènes de Michel Fourniret et l’évolution de certains tribunaux
Dès l’ouverture de cette vingt-cinquième journée de débats, tout le problème posé par la participation active de michel Fourniret apparaît.
Le prophète du retour de Dionysos: synergie entre la raison et les sens
Depuis vingt ans, Micjel Maffesoli analyse l’idéal communautaire de la société contemporaine. En cherchant un équilibre entre l’intellect et l’affect, équilibre qui fut selon lui stigmatisé pendant toute la modernité, mais présent dans la pensée organique des sociétés traditionnelles, il retrouve dans les jeunes générations cette « synergie entre la raison et les sens ».
Des marxistes sur les pas de Saint Paul.
Plusieurs penseurs d’extrême gauche, dont le slovène Slavoj Zizek, en quête de références universelles, en viennent à s’inspirer du christianisme. Une démarche paradoxale.
Les racines chrétiennes, un débat passionnant
« Quand notre monde est devenu chrétien » explique la naissance de la civilisation occidentale. Les lecteurs apprécient ce type d’ouvrage de référence.
La fin du mariage ?
Les derniers chiffres sur la démographie française en 2007, publiés le 15 janvier par l’Insee, placent la France en tête des pays européens en matière de taux de fécondité avec 1,98 enfant par femme. Notre pays tient tête pour la deuxième année consécutive à l’Irlande. Jean-Philippe Cotis, directeur général de l’Insee, qualifie la France de «îlot de fécondité ». Gérard-François Dumont, géographe, professeur à l’université Paris-IV, tempère en indiquant que « nous restons encore en dessous du seuil de renouvellement des générations, qui est de 2,1 enfants par femme ». Et de rajouter que « par ailleurs, il faut savoir que ce chiffre tient surtout à la fécondité des femmes des Dom-Tom et de celles issues de l’immigration. Néanmoins, un tel taux de fécondité prouve l’importance de la politique familiale menée en France. En comparaison, dans les pays de l’Est où de telles aides sont quasi inexistantes, les taux de fécondité sont très faibles ; même la très catholique Pologne ne dépasse pas les 1,3 enfant par femme. » Les Français ont le taux de fécondité le moins bas en Europe, mais la majorité des naissances a lieu désormais hors mariage.
Une allégorie des Temps Modernes
« Au village, dit le prof Jean Piat, il y avait le maire, le curé, l’instituteur : le dieu de la cité, le dieu des âmes, le dieu des esprits.