« L’idéologie française que symbolise Nicolas Hulot, celle qui a conduit au principe de précaution est une idéologie politique, une idéologie de peur, une idéologie de passion, une idéologie qui colle au monde des images, où seule l’émotion passe et avec elle la paralysie. Ne pas prendre de risque qu’on est toujours en prendre un et Nicolas Hulot donne une image sympathique, généreuse, humaine à des idées plus… Discutable. Elle pourrait aboutir à l’opposé des buts recherchés. Certes, il faudra bien que l’homme se désapprenne des énergies fossiles, et le plus tôt sera le mieux, mais ce n’est pas en regardant en arrière, ce ne sera pas par la peur et ce ne sera pas non plus par un déversement d’une facile dégoulinade de bons sentiments qui ignorent le débat scientifique et les intérêts de chacun sinon de tous. »
Ainsi s’exprime Jean de Kervasdoue, professeur au CNAM auteur du livre « les prêcheurs de l’Apocalypse » qui réagit ainsi au film « le syndrome du Titanic »
