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Faut-il moraliser le capitalisme ?

Selon Alain-Gérard Slama, « Plus la crise s’aggrave, plus se multiplient, à tous les niveaux, les appels à « moraliser le capitalisme ». l’expression est doublement dangereuse : parce qu’elle sert indirectement la propagande de l’ultra-gauche, selon laquelle le capitalisme est intrinsèquement pervers ; et plus gravement encore, parce que, prise à la lettre, elle aboutirait à le paralyser.(…) »

« Le capitalisme est un système d’organisation de la production des richesses. Il n’est, par lui-même, ni moral ni immoral. Il est, par définition, a-moral. Les qualités qu’il exige de ses principaux acteurs, telles que les a définies Max Weber, sont la continuité dans la recherche du profit, le sens de leur intérêt bien compris, le goût du risque, la capacité d’innover, et si ces qualités concourent à l’intérêt général, c’est par le biais de la création de richesses, du pluralisme concurrentiel et de la liberté des échanges, qui impliquent, tôt ou tard, le développement de la liberté politique.

Certes, le capitalisme a besoin de règles, mais ces règles, destinées à garantir l’équité des contrats, à éviter les positions dominantes ou à lutter contre les dérives bureaucratiques, n’ont que peu de rapports avec la morale. Moraliser les capitalistes peut, comme aujourd’hui, avoir un sens – encore qu’il s’agisse en l’occurrence, de sanctionner les abus des plus intolérables plutôt que de mettre en œuvre un politique autoritaire des revenus, qui, partout où elle a été tentée, a eu pour principal effet de briser le ressort du capitalisme. La morale est affaire de conscience individuelle. Elle ne se décrète pas, sous peine d’imposer une morale d’Etat, autrement dit un Ordre moral qui, en niant l’autonomie de l’individu, nie sa responsabilité morale. Il existe là un danger auquel nous devons prendre garde.

Les périodes de crise, en effet, qu’elles aient été provoquées par un séisme naturel, une défaite militaire ou une faillite économique, ont toujours été favorables à un retour de l’Ordre moral ; avec pour résultat d’enfoncer dans la crise au lieu d’aider à en sortir. »

In Le Figaro magazine, by Alain-Gérard Slama, le 11 octobre 2008

6 réponses à “Faut-il moraliser le capitalisme ?

  1. Suaire de Lucinge MBA-PhD Harvard

    3 mois après cet article de Alain-Gérard Slama en Figaro, la crise économique s’est démontrée plus profonde aux USA, selon les nombreux observateurs économistes étrangers qui n’avaient rien vu venir quand (elle) débuta 14 mois plus tôt. La définition qu’il donne du capitalisme qui mènerait tôt ou tard au développement de la liberté politique est simplement odieusement grotesque. D’abord ce n’est le capitalisme qui pervers, mais les hommes qui dès les 1ères monnaies voulurent spéculer sur elle, ce qui entraîna l’Eglise Romaine à interdire les prêts avec intérêts entre Chrétiens car immoraux, ils offensaient Dieu. Le pire de l’article Slama est: la Morale est affaire de conscience individuelle …etc Ce monsieur trouve normal que le capitalisme soit protégé par des lois relevant du pur étatisme, donc établies en fonction d’une logique basée sur la Loi de Causalité, mais qui ne fonctionnerait que dans le fonctionnement dudit Capitalisme, qui en 2009 se protège dans ses spéculations par des codes d’accès se renouvelant toutes les Huit secondes.Slama n’oublie qu’une petite donnée; les conséquences de la guerre économique que les puissantes nations capitalistes se livrent, et toutes les guerres pour dominer les régions où sont les produits stratégiques dont le pétrole est le plus cruel exemple-En 2009 le Congo, Irak ou le Darfour! Il faut donc appliquer le déterminisme pour condamner les coupables des cetaines de millions de morts par décennie qu’il causa jusqu’en 1944 , et depuis 1947 plus de Trois milliards.Le Capitalisme est à l’image de l’Homme ;Abominablement cruel envers son prochain le plus faible. Poue claudine et Michel Noble Suaire de Faucigny-Lucinge de Seyssel MBA et PhD de Harvard-Eton A.G. Slama
    ignore le vrai sens du mot morale

  2. Suaire de Lucinge MBA-PhD Harvard

    Le 1er texte lancé par erreur (humaine) la souris mal dirigée vers envoyer, avant contrôle, donc veuillez accepter nos excuses. 3 mois après cet article de Alain-Gérard Slama en Figaro, la crise économique s’est démontrée plus profonde que prévue aux USA, selon les nombreux observateurs économistes étrangers qui n’avaient rien vu venir quand elle débuta 14 mois plus tôt. La définition qu’il donne du capitalisme qui mènerait tôt ou tard au développement de la liberté politique est odieusement grotesque; D’abord ce n’est pas le capitalisme qui est pervers, mais les hommes qui dès les 1ères monnaies voulurent spéculer sur elles, ce qui entraîna l’Eglise Romaine à interdire les prêts avec intérêts entre Chrétiens jusqu’au 13 ème siècle car immoraux ils offensaient Dieu; Le pire de l’article Slama est: la Morale est affaire de conscience individuelle…etc. Ce monsieur trouve normal que le capitalisme soit protégé par des lois relevant du pur étatisme, donc établies en fonction d’une logique basée sur la Loi de Causalité, mais qui
    ne fonctionnerait que pour protéger les bénéfices dudit Capitalisme, qui
    en 2009 se blinde dans ses spéculations avec des codes d’accès se
    renouvelant toutes les Huit secondes. Slama n’oublie qu’une petite
    donnée: les conséquences de la guerre économique et les classiques que se livrent les puissantes nations capitalistes pour dominer les
    régions où sont les produits stratégiques dont le pétrole est le plus cruel
    exemple. En 2009 au Congo, Irak et le Darfour! Il faut donc appliquer le
    déterminisme pour condamner d’abord historiqement les coupables de
    plus d’un milliard de victimes jusqu’en 1945, puis les cocoupables
    depuis 1947 qui causant des centaines de millions de morts par
    décennie, nous arrivons en 2009 à plus de Trois milliards de morts. Le Capitalisme est le reflet de l’Homme : abominablement cruel envers son prochain le plus faible. Pour Claudine et Michel Noble Suaire de Faucigny-Lucinge de Seyssel MBA et PhD de Harvard-Eton, Alain-Gérard Slama ignore absolument le vrai sens du mot Morale. Souvenons-nous de la citation de Albert Einstein; Les USA sont passés de la Décadence à la Barbarie sans connaître la Civilisation. A.G. Slama serait-il plus fin observateur que le plus grand génie de l’Humanité? Salutations; merci

  3. nina

    Pour 2009, voici mes voeux : je souhaite régler un petit problème du genre détail avec cette grosse tache de si peut président de la république, en lui envoyant un avocat. Et toi, cher blogueur ?
    voila. Sinon ça, c’est une tentative de gros scandale public, ça peut toujours servir à calmer du monde. Merci pour l’espace d’expression.

  4. Verthuit

    Moi, cher blogeur, je pense que les abrutis du genre nina commencent à franchement nous pomper l’air, que tout cela et bien plus encore pour vous dire qu’ils nous le pompent franchement l’air, et pas qu’en faisant semblant seulement, SVP.

  5. Verthuit

    Suaire de Lucinge, c’est vous qui êtes grotesque, le capitalisme mêne automatiquement à la liberté politique et à toutes les autres types de liberté puisque l’avenir de l’humanité y est et y est défitivement lié, du moins tant que l’homme n’aura pas inventé un autre moyen de péréniser son existence que la création globale de richesses. Moi je propose qu’on essaie de manger des cailloux. Le jour où on y arrivera, on n’aure plus besoin de créer des richesses et on pourra se passer du capitalisme. Jusque là… Quant à votre petite donnée, l’argument est encore plus grotesque car il ne remet en rien en cause le capitalisme : il remet seulement en cause l’actuelle répartition des richesses. Il est d’autant plus ridicule de dire que le capitalisme est responsable des millions de morts des pays pauvres – en passant, l’amalgame entre Congo, Irak et Darfour avec strictement aucun rapport entre eux est d’une ahurissante stupidité – que si un jour ces pays cessent d’être pauvres ce sera grâce au capitalisme. Le capitalisme n’est pas à l’image de l’homme saint suaire car il n’est qu’un outil. Ca n’est que lorsque l’on viole ses règles que surviennent les catastrophes. Le capitalisme est comme une voiture ou un révolver, entre les mains d’un bon conducteur ou d’un flic, ça permet de se déplacer et ça protège le citoyen, entre les mains de voyous, ça tue.

  6. nasche

    bonjour a tous,a l heure ou tout les partis politiques et tout les analistes se rassemblent pour s insurger et contempler les dégats de la crise, aucune solution concrete nous est annocée .
    rappellez vous il y a quelque mois le pouvoir réclamer la fin des priviléges dans certains corp de métier comme par exemple les cheminaux,le nombre d année de cotisation pour les fonctionnaires.
    pour tout les partis l entente y est demise,commencons a réduire se qui nous coute le plus chers pour le bien du peuple francais.
    voici l argent des contribuable utiliser pour le bien de quelque parasites qui ne pensent qu a leur propre enrichissement.
    le budget concernant les voitures dite de fonction cela représente plus 700 milions d euros chaque année.a cela vienne s ajouter les frais des chauffeurs qui recoive en salaire entre 2000euros et 4500euros.
    mais leur privilége ne s arrette pas la,appartement de fonction dont ils payent un quart du loyer réel correspondand en surface et lieu de ces
    habitation.
    a ce jour aucun partis politique de n importe qu elle tendance que se soit ne remet en cause c ts priviléges qui désonore le peuple de france.
    la crise c est aussi ces parachuttes dorée qui ne céssent de récompenser les copains des copains;au détriment des ouvriers qui ont su creer cette richesse par leur travail,mais c est aussi l argent offert au banque en guise de s impatie ,tantdisque la populasse paient des frais de comptes comme leur agio et bien d autre sur différent non que l on peu leur donner.
    les prochain a recevoir leur envelope bien remplis se sont ceux du batiment et de l automobile,non pas les ouvriers mais toujours ses grosses limace gluante qui pompe la richesse de tout un secteur.
    je pense pour ma part que sur le plans de l écologie et de la production d energie propre des milliers d emploie peuvent etre créé,qu une suprression de certaine taxe comme par exemple la redevance télé ou encore les locations de compteur d eau,électrique …..serait une soluton pour donner du pouvoir d achat au peuple,car il ne sert a rien de proposer une ogmentation du smic de 3% comme le souhaite le ps
    et ogmenter par ailleur tout les produit de consomations.
    je remercie votre site pour la chance qui nous ait donné de pouvoir nous esprimer en toute libertée et bonne continuatuation a vous et bon courage
    a tous.

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