Sarkozy, Socrate, l’euro et nous… la Grèce et ses étudiants
« Depuis que la Grèce a lâché le drachme pour l’euro, elle ne connaît non pas l’austérité, mais, comme seule ambition politique, la volonté de répondre à des critères fixés à Maastricht par quelques technocrates aujourd’hui retraités. Avec la clé un système éducatif en désarroi, une vie politique sans grand intérêt et des salaires de 600 euros à la sortie de l’université.(…) »