GRECE ET UNION EUROPEENNE
(…) « Depuis que la Grèce a lâché le drachme pour l’euro, elle ne connaît non pas l’austérité, mais, comme seule ambition politique, la volonté de répondre à des critères fixés par Maastricht par quelques technocrates aujourd’hui retraités. Avec à la clef un système éducatif en désarroi, une vie politique sans grand intérêt et des salaires de 600 euros à la sortie de l’université.(…) »