TOUJOURS PLUS VIEUX ! EN France : Quelques chiffres
En 2002 l’espérance de vie à la naissance atteint 75.7 ans pour les hommes, et 82.9 ans pour les femmes, en France métropolitaine.
Les cadres et les professions intellectuelles supérieures vivent plus longtemps.
Les habitants des banlieues vivent plus longtemps que ceux des centres-villes.
Pour les deux sexes, c’est dans la moitié nord de l’hexagone que se situent les régions où la mortalité est plus élevée.
Quelques idées à remettre à l’endroit
Quelques idées à remettre à l’endroit
Volatilité vous avez dit volatilité ? « La mobilité croissante d’un corps électoral agité par la peur et guidé par l’humeur. » Alain Gérard Slama, le Figaro Magazine 2 septembre 2006
« Les Français sont victimes de la démagogie de ceux qui leur ont fait croire que la quasi-gratuité des études supérieures était la promesse d’une meilleure position sociale. » Jacques Marseille, Le Point, 12 Octobre 2006
L’Europe contre la croissance ? « Au cours des vingt dernières années, l’Europe a affiché le taux de croissance le plus bas parmi tous les continents. » Yves de Kerdrel, le Figaro, 5 décembre 2006
« La droite, quand elle reprend le pouvoir, ne touche pas aux réformes de la gauche. Elle les respecte, les entoure de précautions ». Stéphane Denis, 21 décembre 2006
Chiffres chocs et réalités économiques
• 3,4 % : c’est la croissance de l’économie américaine en 2006
• l’économie chinoise après avoir détrôné la France et la Grande-Bretagne talonne le Japon et les USA : - croissance : + 11,9% (2ème trimestre 2007) - 3100 milliards de dollars du PIB (fin 2007) Elle deviendra la 3ème puissance économique devant l’Allemagne.
Pour ou contre la lettre de Guy Moquet
Chers internautes… La lettre de Guy Moquet crée la polémique,le débat fait rage, il est national, il est médiatique, il déchaîne les passions. Qui est Guy Moquet ? Quel est encore ce parfum de scandale qui ébranle la France ? Quelle révolution couve sous la directive présidentielle de la lecture de cette lettre dans tous les lycées de France ?
SARKOZY – DE GAULLE – RUEFF
Il faut une rupture à BERCY… pourquoi pas via la TVA sociale ?
De Gaulle en 1958 pour rendre à la France sa place, sachant que les coups de menton ne suffiraient pas et qu’il fallait une économie forte pour être entendu, proposa une rupture dans la gestion du pays. Jacques Rueff, un libéral pur jus, crée le plan de 58 qui ouvrit des années de croissance et de prospérité. Un plan audacieux, comme il nous en faut un autre aujourd’hui, sans crainte des réactions populaires, ou être condamnés à s’enfoncer :
Serbie : l’adieu au Kosovo
Le dossier kosovar dépasse largement la seule question de l’intégrité territoriale de la Serbie : la communauté internationale peut-elle modifier des frontières reconnues en temps de paix ? Des entités séparatistes situées dans d’autres pays profiteront-elles de ce précédent pour s’engouffrer dans la brèche ? Last but not least : l’expansionnisme des régions musulmanes va-t-il déstabiliser toute l’Europe du sud-ouest ?
L’avenir du médicament
Philippe Pignarre, spécialiste de l’industrie pharmaceutique (pour laquelle il a travaillé pendant 17 ans), révèle dans ce forum quelques-unes des règles de fonctionnement de ce monde bien particulier. Il évoque notamment l’existence, dans de nombreux pays, d’une alliance entre les médecins et les laboratoires pharmaceutiques, ce qui complexifie leurs relations et l’usage qui peut être en particulier grâce à la découverte des antibiotiques, qui ont radicalement transformé les méthodes des études cliniques.
Le mythe de la génération sacrifiée
ou … une autre lecture de la dette… la solidarité intergénérationnelle… C’est un sociologue venu de la gauche, Jean-Pierre Le Goff, qui, dans une forte analyse de la crise du CPE, remet en cause le mythe de la génération sacrifiée. Quand une génération a bénéficié d’une ascension sociale aussi forte que celles des « papy-boomers », il est normal que la suivante ait, en proportion, plus de difficulté à franchir un autre échelon. Ni la crise du CPE ni même celles des banlieues n’ont été des protestations de la misère. Quant à la dette, on ne peut raisonner sur le poids de sa charge en méconnaissant le fait que les enfants ont vécu plus longtemps chez leurs parents, que la durée de la vie s’allonge, que la croissance n’est pas un droit et que l’Etat-providence a un coût.
LA MEDITERRANEE, NOTRE HORIZON
POUR UNE UNION MEDITERRANEENNE
La Méditerranée fut le berceau de notre civilisation. A l’heure des pressions migratoires, des défis énergétiques, écologiques et sécuritaires, elle est toujours au centre de notre univers. Et pourtant elle n’est toujours pas un espace de solidarité et de coopération, tant sont profonds les clivages entre les deux rives et nombreux les conflits irréductibles qui s’égrènent en sont pourtour, l’idée est certes ambitieuse elle est cependant à la hauteur des défis multiples qui se présentent à nos portes et peut espérer reproduire plus au sud, les progrès accomplis en une génération dans l’intégration de notre continent.
Il faudra bien sûr rompre avec l’approche trop souvent bilatérale de nos relations avec les pays du Maghreb. L’euro-méditerranéen ne saurait se construire sans une Europe forte et déterminée. Le bassin méditerranéen concentre toutes les grandes fractures planétaires. L’accélération de la mondialisation et la recomposition des équilibres géoéconomique internationaux, induites pour une part par le décollage de l’Asie, révèle et aggrave la divergence des 2 rives de la Méditerranée. Et cet espace, miné par les peurs et les passions, paraît s’enfoncer dans les conflits ou se murer dans le repli.
POUR S’ENRICHIR, LES FRANÇAIS CROIENT AUX JEUX
Les anglais et les allemands comptent surtout sur leur travail.
1,5 millions d’euro : pour 60% des français et des anglais, c’est le patrimoine qu’il faut détenir pour « être riche », selon une enquête TNS publiée en juillet 2007.
Si les britanniques et les allemands comptent d’abord sur leur travail pour y parvenir, les français oscillent « entre raison et rêve », relève l’enquête. Ils sont presque aussi nombreux à compter sur les gains aux jeux d’argent (39 %) que sur les fruits de leur travail (40 %).